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L’Union du Pôle Funéraire Public (UPFP) se veut en général discrète, loin des effets d’annonce qui agitent le microcosme funéraire. Cela ne signifie pas pour autant que le funéraire public n’a rien à dire ou reste sur ses positions… loin de là. Durant une année, un travail de fond s’est opéré afin de tracer les perspectives d’un funéraire public efficient, proche des réalités et des exigences des familles, mais également répondant aux attentes légitimes des collectivités locales et territoriales. Une introspection nécessaire compte tenu des bouleversements du marché national du funéraire, partagé entre fusions, acquisitions et redistribution des cartes. Explications et commentaires…

 

Cazals Lerognon Sauveplane Regine
De gauche à droite :
François Cazals, Patrick Lerognon, Manuel Sauveplane et Régine Durand.
UPFP

Le funéraire public, pompes funèbres, crématoriums et cimetières, s’est donné rendez-vous à Narbonne du 11 au 13 septembre pour ses traditionnelles "Rencontres Nationales". Un événement interne traditionnel où l’occasion de se réunir entre différentes chapelles du funéraire public se conjugue avec le partage de l’actualité funéraire nationale. C’est ainsi que près de 150 directeurs d’établissements, cadres d’entreprise, élus et techniciens se retrouvèrent pour débattre en Assemblée générale et Assemblée générale extraordinaire de l’avenir de la fédération UPFP.

Qui va prendre les rênes ?

De nombreux bruits de couloir, que le funéraire affectionne bien en général, donnent l’actuel président Patrick Lerognon sur le départ. Ce n’est pas un scoop, il avait annoncé qu’il ne briguerait pas un second mandat lors d’un précédent conseil d’administration de l’UPFP. Dont acte. Les conversations allaient donc bon train pour donner le nom de celle ou celui qui serait élu. Rumeur, quand tu nous tiens…

À ce sujet, Patrick Lerognon affiche un grand sourire : "Mon annonce n’est pas une surprise, nous ne sommes pas en situation de crise. Les institutions internes de l’UPFP fonctionnent bien, et, quoi qu’il arrive, celle ou celui vers qui se porteront les suffrages sera porté par l’ensemble de notre Union, car les enjeux futurs sont importants pour le groupe." Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement… et les mots pour le dire arrivent aisément.
16 heures mardi 11 septembre, fin du suspense, Manuel Sauveplane, directeur général de la SEM PFO de Béziers-Le Pech Bleu, est élu. Nous aurons l’occasion de revenir sur cette élection lors d’un entretien spécial avec le nouveau président de l’UPFP dans notre prochain numéro de votre magazine Résonance.

Quel avenir pour le funéraire public, et comment l’atteindre ?

Lors de sa prise de fonction il y a près de deux années, Patrick Lerognon, soutenu par son conseil d’administration, a initié un vaste chantier d’analyse et de synthèse du funéraire hexagonal, privé et public, afin d’en extraire les forces et les faiblesses et de déterminer les stratégies à mettre en œuvre pour le bien commun du réseau UPFP.

Pour ce faire, il a été fait appel au bureau d’études Cazals & Partners. Une étude a été produite et présentée lors de la matinée de travail du mercredi 12 septembre. Une matinée intense pour un sujet exploré en profondeur, et dont les prolongements seront décisifs pour l’avenir de l’Union.

François Cazals n’est pas un inconnu. Consultant en stratégie, professeur à HEC Paris, il est l’auteur de nombreux ouvrages et publications remarquées qui fondent son expertise, notamment "Stratégies digitales, la méthode des 6C", "Marketing online & référencement", "Des PME aux ETI, les entreprises en croissance".

Le cabinet Cazals & Partners intervient dans de nombreux secteurs d’activité pour des organisations de toutes tailles dans les secteurs de l’automobile, du tourisme, de la finance, des services. La mission confiée par l’UPFP a pour objectif l’organisation d’un réseau public par une approche mutualisée et lisible, et couvre les différentes dimensions d’une stratégie notamment digitale.

Comment le réseau UPFP peut-il se démarquer face à sa concurrence ?
Quelles sont les caractéristiques des offres UPFP à développer et valoriser ?
Quelle gestion efficiente de la relation client ?
Quel marketing pour quelle communication digitale ?
Développer par la transformation digitale les compétences des adhérents de l’UPFP et optimiser le partage des enjeux stratégiques.

L’étude présentée s’attache particulièrement à mettre en valeur les points de vigilance et les opportunités. Le Big Data fait partie des opportunités soulignées, car signifiant une rupture comportementale majeure liée à l’explosion des smartphones et médias sociaux. Cette intelligence artificielle, bien comprise et assimilée déjà par de nombreux grands groupes industriels, doit apporter au secteur funéraire, que ce soit en prévoyance ou pour l’opérationnel, une valeur ajoutée indéniable, ainsi qu’une avance concurrentielle significative.

Une présentation de plus de deux heures, suivie d’une large participation de l’assistance, reflète le haut niveau d’intérêt de ce travail de long terme, une analyse sans complaisance, réaliste et prévisionniste, qui sera suivie d’effets immédiats.

 SLR6084De gauche à droite : Marie-Christine Montfort, Mathieu Legrand et Patrick Loiseau.

L’UPFP, un espace de dialogue et de rencontre

Les professionnels du funéraire sont au cœur des Rencontres Nationales UPFP. Fournisseurs, fabricants, importateurs, solutions technologiques innovantes, tous sont présents et échangent avec les sociétés, collectivités et communes présentes.
L’UPFP n’est pas une "chasse gardée", elle se veut ouverte et conviviale, et surtout attentive aux différentes propositions des créateurs du funéraire. Une vingtaine d’enseignes étaient présentes, et les contacts pris seront fructueux, à n’en pas douter.

La médiation de la consommation, la recherche d’une solution amiable

Second volet de la journée de travail du mercredi 12 septembre, présentation de "La médiation", en présence d’Alain Bachelier, médiateur des professions du funéraire.
Événements rares mais néanmoins réels, les contestations des familles peuvent déboucher, si l’on ne prend pas en compte l’émergence de ce litige, sur une réalité tranchée par les tribunaux avec l’audience négative que l’on imagine sans mal. La mise en place d’un médiateur de la consommation des professions du funéraire peut accélérer un mode de résolution amiable du conflit dans le respect des intérêts de chacun et en toute confidentialité.

Le médiateur n’a cependant aucun pouvoir juridictionnel, il ne peut ni trancher, ni imposer une solution aux différentes parties. Bien entendu, il n’a aucun lien d’intérêt ou de dépendance pour l’une ou l’autre des parties, et son intervention est impartiale. Sa mission est cadrée dans le temps. Il dispose de 90 jours à compter de la date de signification pour trouver un accord entre les parties ou faire une proposition de solution. Les parties peuvent se faire assister par le conseil de leur choix au cours du processus.

Le débat avec les congressistes UPFP fut des plus instructifs. Un constat général porte sur le fait qu’aujourd’hui les familles sont avant tout "consommatrices du funéraire", et que chaque détail non conforme, même légèrement, du déroulement de la cérémonie conduit souvent à des observations sévères. Tact, diplomatie, écoute débouchent dans l’immense majorité des cas à des solutions bien comprises par tous. Reste le cas d’exception où l’intervention du médiateur peut être d’un grand secours dès lors que les parties sont "de bonne foi".

Une approche sociologique de la mort, l’expertise funéraire publique

L’approche sociologique de la mort est inscrite dans les gènes de l’UPFP. Depuis sa création, chaque Rencontre Nationale est le lieu privilégié pour donner la parole à des praticiens spécialistes, chercheurs et philosophes. Fidèle à sa tradition, tribune est faite à Martin Julier-Costes : chercheur franco-suisse, il est chercheur-formateur à l’Institut de Formation en Travail Social (IFTS) d’Échirolles en Isère et coordinateur de l’Entité Études et Recherches Actions (ERA). Il est également un membre actif du réseau des socio-anthropologues de l’adolescence et de la jeunesse. Soutenue en 2010 à Strasbourg, sa thèse interroge les ritualisations funéraires juvéniles et le vécu intime du deuil lors de la perte d’un proche.

Ses thèmes de recherche portent sur le traitement social de la mort, la fin de vie, les rites funéraires, le deuil. Ses travaux ont notamment porté sur les soins palliatifs pédiatriques avec une enquête sur le vécu des familles au CHU de Lille et l’équipe EIRENE (2012-2014), et, depuis 2014, il participe l’ANR-ENEID sur les éternités numériques.

En 2015, il a codirigé, avec C. Fawer Caputo, "La mort à l’école. Accueillir, annoncer, accompagner", publié aux Éditions De Boeck. Depuis fin 2016, il est responsable scientifique d’une recherche-action sur l’expérience des orphelins et leur accompagnement, financée par l’OCIRP. Olivier Galey, qui lui a succédé dans les interventions, présentait son projet de coopérative et ses actions de recherche et de développement financées par la Région Nouvelle-Aquitaine, la MACIF, la Ville et la Métropole de Bordeaux et le département de la Gironde.

Des établissements confrontés de façon récurrente à la mort deviendront pilotes de cette étude : hôpitaux, EHPAD, MAS. Les expérimentations porteront sur les cérémonies, un service des derniers jours heureux, des formations et animations de groupe sur des réflexions thématiques. Cette démarche a pour but de proposer une dynamique d’innovation sociale par de nouveaux services, de nouveaux cadres d’intervention, et de susciter de nouveaux comportements. Ceci passe par la co-construction et l’expérimentation des solutions portées par les parties prenantes en vue de fédérer un écosystème pour enfin accroître la connaissance par une meilleure conscience de la valeur créée et la reconnaissance publique.

L’enjeu est d’importance, et s’exprime sous différentes formes : 

Sociétal : par des réponses aux préoccupations des citoyens sur la mort, la fin de vie et le deuil…
Social : par le renforcement des liens sociaux et de la confiance à l’intérieur de l’écosystème…
Économique : par la création de nouveaux services et produits…
Connaissance : par une nouvelle perception, une meilleure compréhension ainsi qu’un échange amélioré…

Les retombées sont également multiples : 

Collectivités : par l’incubation des politiques publiques, le rapprochement des citoyens…
Financeurs : par l’amélioration de la mesure d’impact, la réduction du temps RD.
Citoyens : par le renforcement des compétences et de l’engagement, la valorisation des pratiques, l’appropriation des éléments d’analyse…
Partenaires : par l’élaboration, la validation et l’intégration de nouvelles idées.
Chercheurs : par une démarche inductive offrant de nouvelles pistes de recherche, un accès privilégié au terrain.
"Cette thématique est au cœur de la démarche de l’UPFP depuis sa création, et nous sommes heureux de nous inscrire en partenariat avec de telles initiatives", soulignent de concert Manuel Sauveplane et Patrick Lerognon. Les questions de l’assistance sont autant d’encouragements au développement de ce projet de recherche, et sa traduction concrète au sein du funéraire public.

Un débat interactif autour du cimetière

Autre temps fort de ces journées : le débat autour du cimetière et des nombreuses problématiques qui lui incombent… Animé par Mathieu Legrand, vice-président de l’A.NA.PE.C. et membre du CNOF au sein duquel il représente l’Association des maires de France, Patrick Loiseau, conservateur du cimetière de la Ville de La Rochelle, et Marie-Christine Montfort, chef du service des crématoriums, Lille Métropole Communauté Urbaine, cet événement qui constituait une grande première, aura vu ces derniers répondre aux nombreuses questions de l’assistance, portant aussi bien sur la notion de carrés confessionnels, que sur la gestion pratique d’un jardin du souvenir, ou encore, sur le devenir des cendres.
En effet, sur ce dernier point, certains sites sont aujourd’hui inesthétiques, peu fonctionnels et mal appropriés, en particulier pour ce qui concerne les puits de dispersion. Les municipalités, mal conseillées, ont édifié des espaces de dispersion qui, au fil du temps, deviennent des sortes de taupinières parfois piétinées par les usagers, marquant ainsi tout le manque de respect et de dignité conféré aux cendres et voulu par le législateur. La DGCL (Direction Générale des Collectivités Locales), avec le soutien du CNOF (Conseil National des Opérations Funéraires), travaille à la prochaine parution d’un guide des bonnes pratiques relatif à la crémation et aux sites cinéraires, qui nourrit l’ambition de préciser tous les points pratiques inhérents à la mise en place et à la gestion d’un site cinéraire.

D’aucun vous diront que ce débat pratico pratique, riche de l’expertise des animateurs, mais aussi et surtout, fondé sur l’échange d’expériences entre les divers interlocuteurs aura été un véritable succès. Gageons même qu’une telle expérience, forte de l’intérêt qu’elle aura suscité, devienne récurrente lors des prochaines rencontres

L’abbaye de Fontfroide

Tradition oblige, la ville d’accueil des Rencontres Nationales, par son adhérent UPFP, organise la découverte d’un signifiant architectural local. Cette visite, se déroulant en fin de journée après les travaux, est l’occasion d’échanger autour des thématiques du jour, mais aussi de se laisser porter par la beauté des lieux. L’abbaye de Fontfroide est une pure merveille. Située sur la commune de Narbonne, elle fut créée comme abbaye bénédictine en 1093. Intégrée à l’ordre cistercien en 1144, elle se développe rapidement.

Au milieu du XIIIe siècle elle reçoit une importante dotation de terres et de numéraires par Olivier de Termes, ce qui lui permettra d’augmenter son assise immobilière. Olivier de Termes mérite quelques mots : issu d’une riche famille noble mais cathare, il connaît une jeunesse mouvementée du fait de ses origines confessionnelles. Il parfait son éducation guerrière et s’illustre sur de nombreux champs de bataille. À partir de 1257, il est travaillé par le salut de son âme et décide de se mettre au service de Dieu. En quelques années, il liquide sa seigneurie, dont le château d’Aguilar qu’il avait fait construire, pour distribuer des dons considérables à l’abbaye de Fontfroide.

En se ralliant à l’Église catholique et au roi de France, Olivier de Termes a entraîné avec lui tout son entourage, et a sans doute largement facilité certains des grands objectifs du roi de France et de l’Église : l’intégration du Languedoc à la France, la lutte contre l’hérésie cathare, la construction d’une Église moderne en Languedoc, et la lutte contre les musulmans.

La croisade des Albigeois fit de Fontfroide la tête de pont de l’orthodoxie catholique. Cette stricte observance du dogme porta à la tête de la chrétienté son abbé, Jacques Fournier, devenu pape sous le nom de Benoît XII. L’abbaye est classée au titre des monuments historiques depuis 1862, et mérite vraiment le détour. Elle reçoit en cette soirée du 12 septembre l’UPFP pour un recueillement convivial bien mérité.

L’aquamation, vers un nouveau mode de sépulture ?

La matinée du jeudi 13 septembre fut surprenante à plus d’un titre. L’aquamation en est la cause principale. Présenté par son promoteur actuel, Sandy Sullivan, ce nouveau procédé est intéressant à plus d’un titre en ces temps où l’économie des énergies fossiles dynamise la recherche d’alternatives crédibles à l’inhumation ou la crémation. L’aquamation est peut-être une solution à envisager sérieusement…

Explications :

"L’aquamation est un néologisme désignant une pratique funéraire recourant au procédé physico-chimique d’hydrolyse alcaline mis en œuvre en phase aqueuse. La matière des corps est réduite en ses composants organiques et minéraux essentiellement solubles. Ce procédé est couramment utilisé pour éliminer des déchets animaux, et récemment développé à usage funéraire pour les humains et les animaux de compagnie avec une optique écologique, se rattachant à d’autres pratiques funéraires d’inhumation en eau plus ou moins anciennes. L’aquamation funéraire consiste à plonger le corps du défunt dans de l’eau chaude (93°C) agitée et contenant des agents facilitant la dissolution des chairs, en quelques heures (3 à 4 h).
Certains protocoles opèrent à 150-180°C, sous pression pour éviter l’ébullition, autrement désigné par le terme de "résomation" en usage sanitaire. Les agents comprennent notamment des carbonates et hydroxydes (hydroxyde de sodium ou de potassium). La combinaison du mouvement de l’eau, de sa température, et de son alcalinité accélère le processus de dissolution et décomposition des tissus, qui, après 3 à 6 heures de traitement, disparaissent, donnant un liquide coloré riche en amino-acides, peptides, glucides, savons d’acides gras, nucléotides et sels. Selon les conditions d’hydrolyse, les os deviennent souples, produisent des résidus floconneux ou des restes friables (phosphate calcique ; 2-3 % du volume/poids initial)".

Ce procédé n’est pas nouveau. Breveté en 1888 aux États-Unis, il est utilisé couramment pour éliminer les restes des animaux d’abattoirs, et éviter ainsi la propagation de maladies, des virus et prions. Utilisé notamment lors de la crise sanitaire de "la vache folle", ce process est considéré plus sûr d’un point de vue sanitaire.

Adapter l’aquamation en vue d’un usage funéraire humain a fait son chemin pour des raisons simples liées à l’économie et à l’environnement. Son bilan d’émission de gaz à effet de serre est inférieur d’un tiers à une crémation classique. Il ne rejette pas de fluides contaminant le sol ni de déchets ultimes (inhumation, ou cendres issues de la crémation). La récupération des métaux des prothèses peut s’effectuer à l’instar de la crémation, et suivre une filière d’optimisation et de recyclage.

D’un point de vue des confessions ou philosophies, l’aquamation se range au même rang que la crémation, et se montre compatible avec le bouddhisme et la religion chrétienne, à l’exception de l’islam et du judaïsme, qui prônent l’intégrité du corps post mortem. Il est à noter que ce procédé se montre efficace pour inactiver le formaldéhyde et le phénol, ainsi que pour bloquer les agents infectieux et toxines sévères (anthrax, moutarde, sarin…). Techniquement adapté et parfaitement maîtrisé, ce procédé, que l’on peut considérer comme déjà ancien (1888), revient sur le devant de la scène.

"La technique est une chose, les rituels en sont d’autres. Il nous appartient à nous, opérateurs funéraires, d’étudier ce type d’alternative très sérieusement et d’en débattre au sein d’organismes tels que le CNOF, mais également au préalable au niveau des différentes fédérations. L’usage des carburants fossiles au niveau de la crémation a un coût et un impact, envisager d’autres hypothèses est de notre responsabilité", souligne Manuel Sauveplane, président de l’UPFP.
L’intervention de Sandy Sullivan fut longuement saluée, et à n’en pas douter, nous aurons l’occasion de revenir sur cette nouvelle pratique dans nos colonnes.

Rendez-vous l’année prochaine…

Un nouveau président, un CA refondé ainsi que ses groupes de travail, l’UPFP s’attache à sa mission première, apporter à tous un service funéraire digne et de qualité dans le respect des différences, avec une empreinte économique adaptée aux attentes de chacun.
Rendez-vous est pris avec Manuel Sauveplane, qui développera pour nous le projet UPFP et son calendrier d’action. Nous sommes impatients !

Résonance n°144 - Octobre 2018

Instances fédérales nationales et internationales :

FNF - Fédération Nationale du Funéraire FFPF - Fédération Française des Pompes Funèbres UPPFP - Union du Pôle Funéraire Public CSNAF - Chambre Syndicale Nationale de l'Art Funéraire UGCF - Union des Gestionnaires de Crématoriums Français FFC - Fédération Française de Crémation EFFS - European Federation or Funeral Services FIAT-IFTA - Fédération Internationale des Associations de Thanatoloques - International Federation of Thanatologists Associations