L’École Française de Sciences et Soins Mortuaires (EFSSM), propose aux futurs thanatopracteurs une formation de qualité basée en grande partie sur la découverte de la profession au sein même d’une entreprise de pompes funèbres et ce dès les premiers jours de leur présence.
M. Jean-Pierre Comtet, directeur, et moi-même, Joëlle Lecacheur enseignante chargée de la pédagogie, avons souhaité, depuis plusieurs années, que l’enseignement dans sa quasi-totalité s’effectue de façon que les candidats au diplôme national soient très vite confrontés à la réalité du terrain, leur permettant ainsi de connaître très rapidement les différents aspects de leur futur métier.
Ainsi , ils participent dès les premiers jours à des pratiques sur place, telles que les mises en bière puis, dès qu’ils ont franchi le cap de l’écrit de leur examen, sont pris en charge par des tuteurs diplômés et formés à l’encadrement. Ils procèdent alors à la réalisation de soins selon un programme pédagogique progressif, jusqu’à la présentation en salon où ils peuvent, lorsque le contexte le permet, rencontrer la famille. Ils sont toujours accompagnés de leur formateur.
Ainsi , ils participent dès les premiers jours à des pratiques sur place, telles que les mises en bière puis, dès qu’ils ont franchi le cap de l’écrit de leur examen, sont pris en charge par des tuteurs diplômés et formés à l’encadrement. Ils procèdent alors à la réalisation de soins selon un programme pédagogique progressif, jusqu’à la présentation en salon où ils peuvent, lorsque le contexte le permet, rencontrer la famille. Ils sont toujours accompagnés de leur formateur.
La formation se déroule en plusieurs séquences dont l’une se déroule à la Faculté de Médecine à Nice avec laquelle l’école a mis en place un partenariat ce qui permet aujourd’hui aux instructeurs de faire participer au maximum les étudiants, tant sur le plan théorique que pratique, notamment en matière d’autopsies.
Notre souhait est de développer au cours de cette formation les qualités humaines indispensables à l’exercice de cette profession. Nous voulons apprendre à nos stagiaires comment se conduire pour permettre à une mère, un père, un conjoint, un ami, de pouvoir se recueillir auprès de celui ou celle qui n’est plus ; comment reconnaître le temps nécessaire à un deuil dans les meilleures conditions qui soient.
Le chemin du deuil sera différent pour chacun, mais aucun n’oubliera l’apaisement, la sérénité, qui doucement seront entrés en lui grâce à ces moments désormais inscrits en sa mémoire.
Joëlle Lecacheur
Jean-Pierre Comtet
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