Depuis une vingtaine d’années, les problématiques écologiques s’invitent dans de nombreux domaines de l’espace public et, de ce point de vue, le secteur funéraire n’échappe pas à cette tendance. Que ce soient les professionnels qui incluent de plus en plus la dimension écologique dans leurs prestations, les chercheurs qui investissent de manière croissante le secteur funéraire, ou encore les collectivités qui innovent dans la gestion des infrastructures, toute la chaîne mortuaire est concernée par l’écologie. L’organisation des cimetières constitue alors un enjeu de premier ordre pour les différents acteurs de la chaîne funéraire dans cette prise en compte croissante de problématiques environnementales.
La gestion des cimetières, dans le cadre du service public local, s’adapte aux évolutions sociétales du rapport à la mort et au deuil, mais aussi à des enjeux davantage liés à l’urbanisme. Elle pose les questions de l’articulation du cimetière avec la ville, et de la valorisation de ces espaces verts, réserves de la biodiversité avec "la paix des morts"(1).
L’individualisation du rapport aux défunts et aux obsèques, la préservation du patrimoine historique et mémoriel, la dimension parfois touristique des lieux de sépultures, les nouveaux usages des espaces verts au cœur des villes sont autant d’enjeux dont s’emparent les communes, et cela dans un contexte assez général de saturation des cimetières.
Ainsi, loin de se limiter au dernier repos des hommes ou de constituer une compétence étrangère à l’innovation, la gestion des cimetières est, lorsqu’elle est saisie et valorisée par les communes, un formidable levier d’amélioration des services publics locaux et de l’attractivité des territoires. Si les initiatives, en ce sens, se multiplient, celles-ci demeurent localisées et ne permettent pas un changement généralisé dans la conception et la gestion de ces espaces hautement symboliques.
Une prise en compte croissante de l’écologie dans le funéraire
• Une demande sociale croissante
Les différentes évolutions relatives au funéraire (hausse de la crémation et expérimentation de nouveaux procédés, développement de "nouveaux" espaces funéraires, émergence des coopératives funéraires, etc.), loin de plaider pour un "conservatisme" des usagers, apparaissent davantage comme des témoins d’une diversification des rapports au funéraire, en particulier en termes générationnels. Globalement, les familles sont de plus en plus attentives à l’enjeu environnemental dans la planification des obsèques.
Différents travaux ont d’ailleurs montré que le relativement faible développement des pratiques écologiques dans le cas des funérailles ne renvoie pas tant à des résistances de la part des usagers qu’au manque d’offre de la part des professionnels(2). Au contraire, le succès de certains cimetières "naturels" ou "écologiques" semble traduire une attente de la part d’au moins une partie de la population quant à l’articulation des problématiques environnementales et funéraires(3), attente que l’on retrouve également dans d’autres pays(4).
De plus, "l’inhumation écologique" apparaît moins onéreuse que son pendant "traditionnel", et peut ainsi, en plus d’être un outil de lutte contre les effets de la "crise environnementale", constituer un levier de justice sociale et d’égalité face à la mort en permettant une réduction des coûts pour les familles. La position des usagers apparaît donc comme plutôt favorable à ces évolutions, à condition qu’ils soient inclus dans un processus de concertation visant à adapter les espaces funéraires à leurs besoins et dans le respect de leurs pratiques et croyances.
• Une tendance à la "végétalisation de l’urbain"
Ces réflexions relatives au funéraire s’inscrivent également dans une réflexion plus large sur la place de la nature en zone urbaine. En effet, de nouveaux enjeux liés à la végétalisation de l’environnement urbain se sont progressivement imposés, cette pratique constituant "un outil majeur de l’adaptation au changement climatique(5). Dans ce sillage, différentes réflexions sont engagées visant à transformer les cimetières pour les doter des qualités esthétiques, sociales et écologiques des parcs et jardins publics(6), exprimant ainsi l’idée d’une prise de conscience que les espaces funéraires constituent des "espaces naturels précieux dans des zones urbanisées et polluées", et que l’écologie et la biodiversité ne sont pas contradictoires avec le culte des morts(7).
La question des "îlots de fraîcheur" apparaît aujourd’hui centrale dans les politiques locales d’aménagement des espaces verts dans la mesure où ceux-ci participent à la fois à la captation du CO2 à la réduction de la chaleur en milieu urbain, et donc à l’adaptation au changement climatique. La végétalisation des espaces funéraires en milieu urbain joue donc également un rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique en permettant la création d’îlots de fraîcheur se substituant aux îlots de chaleur induits par la minéralisation des cimetières tout en constituant, pour les usagers, des îlots de verdure rafraîchissants et propices au recueillement.
• Le funéraire comme secteur d’innovation
Cette tendance est également soutenue par les acteurs funéraires et institutionnels eux-mêmes. Du côté des acteurs funéraires, cette thématique sera au cœur des conférences consacrées au label RSE du salon FUNÉRAIRE PARIS 2025. Du côté de la recherche, de nombreux projets et initiatives en cours soutiennent ce rapprochement des problématiques environnementales et funéraires : le projet F-Compost, qui développe les pratiques de terramation et porté par l’université de Lille et l’université de Bordeaux, le CNRS et l’association Humo Sapiens ; ou encore la création d’"Éternis", une fondation dédiée à l’étude de la transition des pratiques funéraires vers de nouvelles pratiques respectueuses de l’environnement. Du côté des collectivités locales, des expérimentations se multiplient, particulièrement dans l’aménagement des cimetières qualifiés de "naturels", "écologiques" ou "verts".
En effet, depuis une quinzaine d’années, le nombre de projets de cimetières naturels a explosé. Le premier, le cimetière du Souché à Niort, date de 2014. Aujourd’hui, on recense en France 17 cimetières "naturels" en fonctionnement, et 6 en projet. Ils sont concentrés dans le nord de la Nouvelle-Aquitaine, autour de Niort, et en Région parisienne. Au final, là où un projet émerge, on constate un phénomène de multiplication des initiatives, à lire comme une conséquence des évaluations et retombées souvent très positives de ces projets.
Cette concentration géographique tend néanmoins à créer une forme d’inégalité d’accès à des inhumations écologiques pour les familles en fonction des territoires. Pourtant, au-delà de la satisfaction des familles, ces initiatives permettent avant tout de répondre aux enjeux contemporains spécifiques de la gestion des cimetières.
Les enjeux contemporains de la gestion des cimetières
Depuis une trentaine d’années, l’enjeu de la saturation des cimetières est au cœur des préoccupations des gestionnaires des collectivités. Rappelons que la création et la gestion des cimetières sont des compétences exclusives des collectivités locales, communes et intercommunalités, et relèvent du service public en gestion directe, en monopole communal non délégable à des organismes privés.
Les reprises de concessions et la création de nouveaux cimetières questionnent la capacité des communes à renouveler la maison commune des morts(8). Dans un contexte où l’impact écologique des obsèques est connu, où la fréquentation des cimetières diminue, et où la législation évolue, il convient de s’intéresser aux nouvelles solutions de conception de ces espaces, plus respectueuses des écosystèmes locaux, et qui ouvrent la voie à de nouveaux usages pour ces lieux de mémoire.
• La problématique de la saturation des espaces funéraires
La crise de la Covid a eu un effet significatif sur l’émergence du problème local de la place dans les cimetières, dont la capacité d’accueil a été mise à rude épreuve. Si, à l’échelle nationale, on considère "qu’il y a toujours des possibilités foncières pour créer des cimetières(9), à l’échelle locale, le problème est bien réel et préoccupant pour les acteurs locaux. Face à l’enjeu de la saturation, les collectivités s’organisent, notamment par la mise en place de "stratégies funéraires", qui favorisent l’accélération des reprises des concessions, la limitation des durées de concessions, l’arrêt des ventes par anticipation, l’augmentation des prix, la verticalité dans les cimetières, et l’extension ou la création de ces espaces.
Les mesures ayant le plus d’impact sur la saturation sont les reprises et la création de nouveaux espaces. Si les politiques de reprises permettent de garantir une certaine disponibilité des concessions au cœur des cimetières, elles présentent certaines limites. Tout d’abord, leur efficacité est intrinsèquement liée à l’anticipation, à leur dimension stratégique. Or, dans les petites communes caractérisées par la polyvalence de leurs agents, les campagnes de reprises sont très limitées et récentes.
D’autre part, les études montrent que les campagnes de reprises permettent de repousser la saturation(10), mais pas de l’endiguer. Elles sont d’autant plus efficaces lorsqu’elles sont complétées par des politiques d’extension et de créations de cimetières prenant en considération les évolutions des attentes des citoyens vis-à-vis de ces lieux, notamment en termes d’usages et de valorisation des espaces verts au cœur des zones urbaines.
Figure 1 : La saturation des cimetières et ses leviers d’action.

• La fréquentation des espaces funéraires
Cette saturation progressive des cimetières se couple également à un contexte de baisse généralisée de la fréquentation de ces derniers par les usagers, notamment les plus jeunes(11). En effet, l’évolution des modes de vie, notamment en termes de mobilité professionnelle, ainsi que le développement de la crémation (42 % des décès en 2022, contre 28 % en 2009)(12) ont participé d’un éloignement croissant de la population des espaces funéraires en général.
À cela s’ajoute également l’émergence de nouveaux espaces d’expression de la mémoire des défunts qui peuvent accentuer cette désaffection des cimetières(13). Ces éléments poussent les collectivités à anticiper les besoins liés aux projections de mortalité d’une population à la fois croissante et vieillissante, tout en tenant compte des évolutions sociales, des mutations urbaines et des défis environnementaux(14).
De ce point de vue, l’extension, le réaménagement ou la création d’espaces funéraires en complément des politiques de reprises de concessions constituent un levier politique pour entraver la désaffection des espaces funéraires par les usagers.
• Les enjeux législatifs : un contexte propice
Enfin, la prise de conscience des risques liés à l’utilisation des produits phytosanitaires a conduit l’Union européenne et la France à adopter depuis 2009 une série de mesures pour réduire les risques sur la santé humaine et l’environnement liés à leur usage. En France, un premier arrêté de 2011 réglemente l’utilisation de certains produits dans les lieux fréquentés par le public, puis la loi du 6 février 2014, dite "loi Labbé", qui interdit aux personnes publiques, à compter du 1er janvier 2017, "d’utiliser ou de faire utiliser par leur prestataire des produits phytosanitaires de synthèse pour l’entretien des espaces verts, forêts, promenades et voiries accessibles ou ouverts au public".
Si, dans un premier temps, cette interdiction ne s’applique pas aux cimetières – bien que certaines municipalités l’aient appliquée dès 2017 –, elle y est étendue par un arrêté en 2021 fixant, à partir du 1er juillet 2022, l’interdiction "hors produits de biocontrôle à faible risque ou utilisables en agriculture biologique". Cette interdiction impose alors l’utilisation de pratiques alternatives (désherbage manuel ou mécanique, par exemple) qui, si non pensées en amont, peuvent constituer une charge de travail supplémentaire et/ou une dégradation des conditions de travail pour les équipes, un coût supplémentaire pour les municipalités, voire un sujet de tension pour certains usagers, notamment les plus âgés(15).
À l’inverse, incluse dans une réflexion plus large quant à la gestion des cimetières, elle peut constituer un outil d’amélioration des conditions de travail et de qualification pour les équipes, un moyen de réduction des coûts et un levier politique pour les municipalités et, enfin, une occasion de repenser les espaces funéraires pour les usagers : "Sans utilisation des pesticides, l’aspect visuel des espaces verts est modifié, ils offrent des possibilités de loisir différentes, par exemple la découverte de la "nature en ville", l’observation de la faune…"(16).
Les initiatives locales sont aussi, dans une certaine mesure, encouragées par l’existence de financements spécifiques visant à aider les collectivités à réaliser leur projet, notamment pour répondre aux enjeux d’arrêt des produits phytosanitaires de synthèse, de gestion de l’eau et de l’érosion, de végétalisation.
Diversité et adaptabilité du cimetière "naturel"
Si les initiatives visant à concilier une gestion écologique des espaces funéraires et les problématiques rencontrées par ce secteur se multiplient, force est de constater qu’il n’existe pas de définition claire et stable de ce qu’est un cimetière qui se voudrait "naturel" ou "écologique". En effet, outre l’absence de label ou de certifications dédiés, les différentes expérimentations en cours se caractérisent par des divergences réelles qui renvoient aux spécificités locales et aux degrés de contraintes retenus des règlements intérieurs de chacun de ces projets.
Pour autant, ces différents projets partagent un certain nombre de points de convergence. En effet, ces espaces sont caractérisés en premier lieu par une volonté de limiter au maximum les intrants dans les sols. Cela implique donc souvent des restrictions quant à la réalisation de soins de thanatopraxie. Deuxièmement, ces espaces ne comportent pas de monuments funéraires (caveaux, cavurnes), les enterrements sont réalisés en pleine terre et l’emplacement des sépultures est indiqué par différents types d’ornements funéraires : plaques, stèles.
Enfin, au-delà de leurs spécificités locales, les règlements intérieurs de ces cimetières viennent encadrer de nombreuses pratiques concernant aussi bien l’entretien du cimetière que les pratiques des usagers : gestion de l’eau raisonnée, limitation des plantes ornementales, interdiction du plastique, tonte écologique, présence de prairies à destination de la préservation de la biodiversité, etc.
De ce point de vue, la conception du règlement intérieur constitue un enjeu déterminant dans la mise en place de ces cimetières d’un nouveau genre, dans la mesure où celui-ci, s’il doit évidemment répondre aux problématiques identifiées par les porteurs de ces projets, doit également bénéficier de l’aval de la population, qui doit, autant que faire se peut, être incluse dans un processus de coconstruction de ces nouveaux espaces funéraires.
Outre le cadre technique et réglementaire, d’autres objectifs peuvent présider à la conception de ces espaces funéraires. En effet, en plus d’avoir un impact écologique certain et de constituer des réponses aux problématiques que rencontrent les collectivités dans la gestion de leur stratégie funéraire, les cimetières naturels sont conçus comme des espaces verts, de véritables "lieux de vie", qui permettent le recueillement le plus paisible pour les familles. À titre d’exemple, dans le cas du cimetière du Souché, une attention toute particulière a été accordée à la dimension esthétique, mais également artistique, dans la conception et l’aménagement du lieu.
Figure 2 : L’Arbre des Printemps, jardin du souvenir, Souché.

La réussite de ces projets est alors étroitement liée aux méthodes de construction et d’implantation des projets, renvoyant aussi bien aux caractéristiques mêmes du cimetière qu’à l’inclusion des usagers dans les processus de coconstruction de ces espaces. Le cimetière "vert", "naturel" ou même "écologique" ne renvoie alors pas tant à un modèle monolithique applicable à l’ensemble des territoires, mais davantage à une "boîte à outils" permettant de répondre spécifiquement aux enjeux généraux, mais également plus spécifiques et localisés qui se posent quant à la gestion des espaces funéraires.
Loin de se substituer au cimetière traditionnel, le cimetière "naturel" s’inclut alors dans une politique funéraire plus globale alliant cimetières traditionnels et innovations environnementales permettant une offre plus diversifiée pour les familles.
S’engager dans la mise en œuvre d’un cimetière naturel ne va pas de soi. C’est une initiative qui marque une volonté de développer ce service public local et de considérer le cimetière comme une véritable prolongation des politiques de préservation de la biodiversité des villes, tout en réaffirmant sa nature si particulière et intime. Réinventer les rituels civiques, favoriser un retour des habitants dans les lieux de mémoire collective, et offrir des espaces de vie et de nature au cœur des espaces urbains, autant d’objectifs auxquels peut répondre une telle démarche d’innovation.
Loin de l’image "punitive" ou "restrictive" qui peut être véhiculée au sujet des démarches qualifiées "d’écologiques", le développement de ces projets innovants apparaît en premier lieu comme des solutions pragmatiques aux problématiques contemporaines rencontrées par les collectivités et les usagers.
(1) Clavandier, Gaëlle et al. Les cimetières : que vont-ils devenir ? : À partir d’une enquête en Normandie, en France et ailleurs. Paris, Hermann, 2019.
(2) Moncoq, Manon. "L’écologie et le funéraire", Résonance, n° 191, 2023, p. 22-28.
(3) Groyer, Flavien. "Cimetières naturels : quand les défunts font le choix d’une inhumation plus écologique", France Bleu, 30 octobre 2024.
(4) Hauteville, Jean-Michel. "Les cimetières naturels en pleine expansion en Allemagne", Le Monde, 3 novembre 2019.
(5) Pascal, Mathilde. Laaidi, Karine. Beaudeau, Pascal. "Intérêt des espaces verts et ombragés dans la prévention des impact sanitaires de la chaleur et de la pollution de l’air en zones urbaines", Santé Publique, S1 (HS1), 2019, p. 197-205
(6) Laplume, Nicolas. "Faut-il transformer les cimetières en parcs urbains et lieux de promenade ? Bordeaux Métropole lance le débat", Sud-Ouest, 19 février 2025.
(7) Clavandier, Gaëlle. et al. Les cimetières : que vont-ils devenir ? : À partir d’une enquête en Normandie, en France et ailleurs. Paris, Hermann, 2019.
(8) Rapporteur Rameau, Journal officiel de la République française. Débats parlementaires. Chambre des députés : compte rendu in-extenso. 1881-03-07.
(9) Entretien, Jean Pierre Sueur, avril 2022.
(10) Duvaut, Alèxe, "Les morts, un problème public ?", Thèse de science politique, IEP Bordeaux, 2025 ; Agence d’Urbanisme Bordeaux Aquitaine. "Les cimetières dans la métropole bordelaise. Cahiers des charges type d’aménagement ou de réaménagement d’un cimetière", 2021
(11) Fauconnier, Nicolas. "A la Toussaint, 51% des Français de plus de 40 ans se rendent au cimetière", CREDOC, 2005.
(12) Salmon Legagneur, Aurée. "En 2019, les jeunes adultes sont plus nombreux que leurs ainées à préférer l’inhumation", CREDOC, 2019
(13) Julier-Costes, Martin. "Socio-anthropologie du deuil chez les jeunes. La mort d’un-e ami-e à l’ère du numérique", dans Jeffrey, Denis. Lachance Jocelyn. Le Breton, David. Penser l’adolescence, Paris, Presses Universitaires de France, 2016.
(14) Agence d’Urbanisme Bordeaux Aquitaine. "Les cimetières dans la métropole bordelaise. Cahiers des charges type d’aménagement ou de réaménagement d’un cimetière", 2021
(15) Duvaut, Alèxe, "Les morts, un problème public ?", Thèse de science politique, IEP Bordeaux, 2025
(16) Lefebvre, Marianne. Maslianskaïa-Pautrel, Masha. Laïlle, Pauline. "Préférences des usagers pour la gestion des espaces verts urbains sans pesticides : l’exemple de la France", Revue économique, vol. 72, n°6, 2021, p. 947-967.
(17) https://ad-publiconseil.fr/
Présentation des auteurs Alèxe Duvaut et Pierre Mirambet
ApConseil(17) est un cabinet d’études et de conseil stratégique à destination des collectivités et professionnels. Fondé en 2024 par Alèxe Duvaut, docteure en science politique spécialisée dans les politiques publiques liées au funéraire, et Pierre Mirambet, sociologue, ApConseil propose des études adaptées et mobilisant les outils issus de la recherche en sciences sociales afin de donner les clés de compréhension et d’action aux collectivités et professionnels pour qu’ils puissent se saisir de manière sereine et autonome des enjeux contemporains et problématiques qu’ils rencontrent. C’est dans ce cadre qu’ApConseil s’est intéressé au développement des innovations environnementales dans le secteur funéraire, et en particulier concernant les cimetières "naturels". |
Alèxe Duvaut et Pierre Mirambet
Résonance n° 221 - Novembre 2025
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