Votre panier

Panier vide

Encore un livre sur un tueur en série… le sérial killer a encore frappé ! Depuis Thomas Harris et la création d’Hannibal Lecter, le tueur psychopathe aux innombrables victimes est un phénomène de mode, que cela soit dans la littérature, le cinéma ou les séries TV. Seulement, au bout d’un moment, ça saoule un peu… Des assassinats plus horribles les uns que les autres, un criminel narcissique qui cherche à se venger de sa mère qui l’étouffait, et qui est amoureux de sa sœur. Bref, on avait presque envie de revenir à un bon vieux crime passionnel de derrière les fagots, où le type s’est fait flinguer parce qu’il a une relation avec la femme d’un autre.

Véritable évènement dans l'évènement, la parution du livre de Guillaume Bailly a fait sensation dans les allées du salon FUNEXPO 2014. Recueil des plus belles perles de la profession, cet ouvrage recense quelques tranches de vie, bien senties et souvent cosasses, qui dépeignent avec humour, mais sans jamais l'écorcher, le quotidien, parfois décalé, des professionnels de la pompe funèbre. Ancien "Croque-mort" aujourd'hui reconverti dans l'écriture et le journalisme, Guillaume nous a parlé des premières retombées de son ouvrage.

"Même pour une personnalité politique assassinée chez elle, en pleine ville, il vaut mieux ne jamais faire appel au capitaine Leblanc", dit l’Artiste. Le commissaire Beaulieu va pourtant commettre cette erreur…

Au début des années 70, Bertrand Blier tournait un film sulfureux tiré d’un de ses romans : "Les Valseuses".

Un rythme rapide et soutenu, des jeux de mots qui fusent, on ne s’ennuie pas une seule seconde. Dans cette période parfois morose, ce livre est un véritable antidépresseur, à lire sans modération.

Jacques nous emmène dans un polar qui au départ semble classique, les bases sont là, et bien là, pas d’erreur, seulement vite on entre dans cette histoire de vengeance sur fond historique, et là ce polar appartient à une autre catégorie celle du thriller historique, mélangeant la seconde Guerre Mondiale, et l’enquête qui a lieu de nos jours.

Beaucoup d'auteurs ont du talent ; de toute façon, pour passer la barrière de l'édition, il faut déjà convaincre un éditeur et son comité de lecture. C'est peu, me direz-vous, une demi-douzaine de personnes en moyenne, je vous le concède. Mais quand ensuite ce livre se vend, que le public est au rendez-vous, et si en plus vous raflez des prix, c'est que le talent est bien présent...

C'est en 1983 que la première planche de "Pierre Tombal" apparaît dans le journal de Spirou. Un fossoyeur comme héros de bandes dessinées, une idée que l'on pouvait trouver bizarre, mais tel fut le concept de Marc Hardy, le dessinateur, et de Raoul Cauvin, le scénariste. Et cette idée était loin d'être folle puisque, 31 ans après, Pierre Tombal est toujours là, en mars est sorti son 30e album : Question de vie et de mort.

Rose et son frère Andy Jersey sont deux enfants âgés respectivement de douze et dix ans et demi qui, en découvrant une pièce dans la maison de Mamig, leur grand-mère (une pièce dont l'accès leur est formellement interdit, le grenier), basculent tous les deux, grâce à un miroir de sorcière, dans un monde parallèle. Bien sûr, ce livre s’adresse plus à un public d’enfants, d’adolescents, mais il est bon de temps à autre de s’éloigner de l’univers du noir et du polar…

Lucienne Cluytens est de ces auteurs qui aiment faire du noir avec des gens simples… Que cela soit dans "La Grosse" ou dans "Le Petit Assassin" (j’adore ces deux-là), elle prend des gens de la vie de tous les jours, des gens comme vous et moi, et leur fait vivre une aventure.

Les décorations de Noël, le tube de l’été, le beaujolais nouveau, le marronnier journalistique sur le prix des obsèques à la Toussaint, le grand prix du jury du festival de Cannes, et le nouveau Franck Thilliez !

Retour d’un habitué dans les colonnes de "Résonance". Je reçois en effet Maxime Gillio pour la troisième fois. La première, ce fut à l'occasion de la sortie du "Cimetière des morts qui chantent", la seconde pour "l’Exquise Nouvelle" et aujourd'hui, c’est pour la sortie de son dernier polar en date, "Anvers et damnation".(1)

Un flic alcoolique, et pas que, non, ce flic-là, il a toutes les addictions, ou presque, complètement politiquement incorrect, c’est pour vous dire, on en viendrait à coller une auréole (et pas sous les bras) et une paire d’ailes à Alexandre-Benoît Bérurier.

Un recueil, et cette fois-ci pas que du "noir", pas que du polar ou du thriller, non, c’est extrêmement panaché. On y trouve des nouvelles noires, bien sûr, mais aussi des poésies, des illustrations.

Quand j’étais gosse, comme beaucoup, j’ai lu, voire dévoré les aventures de Tintin. Comme tout gamin j’ai rêvé d’être Tintin. Aujourd’hui à plus de quarante ans, il m’arrive encore de lire ses aventures, soit juste pour moi, par plaisir, par… nostalgie même, ou avec mon fils de neuf ans.

Lorsque l’on écrit un livre, que ce soit un roman, un polar, un recueil de nouvelles, peu importe, le plus dur n’est pas forcément l’écriture en elle-même, mais de trouver un éditeur.

"Le collectif des auteurs du noir". Ce collectif est une association qui regroupe tout plein d’auteurs de romans noirs, de polars de qualité. Il est né il y a plus d’an grâce à Fabien Hérisson. Employé dans le milieu bancaire, mais passionné de polars, celui-ci est d’ailleurs le créateur du site "Livresque du Noir"[1]. Fabien, en plus d’être, tout comme moi, un passionné de polars, de littérature policière, est aussi un homme au grand cœur…


Logo ADN

 

Il y a donc quelques mois, il a contacté plusieurs auteurs et leur a demandé d'écrire une nouvelle, chacun dans son style, sur un sujet bien précis. En 2012 ce fut "les auteurs du noir face à la différence", sorti aux éditions Jigal ; tous les droits d’auteur sont reversés à l’association "Écoute ton cœur"[2].
Fabien a décidé de récidiver cette année, il a ajouté du sang neuf à son collectif, trouvé un nouveau sujet, et refait un recueil de nouvelles. Il est un ami, et surtout son idée me plaît lorsque j’ai su qu’il cherchait un nouvel éditeur, nous lui avons proposé avec Delphine d’intégrer l’équipe de l’"Atelier Mosésu" en tant que directeur de collection, je lui ai dit que j’étais prêt à l’éditer, mais à une seule condition, que "Le collectif des auteurs du noir" soit une collection à part entière de l’Atelier, et que nous sortions un exemplaire par an, avec un sujet nouveau à chaque fois et une nouvelle association caritative bénéficiaire des droits d’auteur, que l’on fasse entrer de nouveaux auteurs dans chaque livre, des connus, des nouveaux, le but recherché étant la qualité.
Fabien, partageant nos convictions a signé, c’est donc chose faite. Pour 2013 le sujet est vaste, puisqu'il s'agit de la santé. Les auteurs qui participent cette année sont : Bérengère de Bodinat, Jean-Luc Bizien, Armelle Carbonel, Luc Doyelle, Claire Favan, Maxime Gillio, Fabien Hérisson, Annabelle Léna, André Marois, Bernard Minier, Michaël Moslonka, Max Obione, Jean-Marie Palach, Gaëlle Perrin, Stanislas Petrosky, Jacques Saussey. Tous ces auteurs de talent vous ont concocté une nouvelle pour cet opus, vous croiserez plusieurs styles d’écriture, de l’humour, du noir, du polar, de la science-fiction, le tout formant un fin mélange des plus agréables à lire.
De plus, c’est Marina Carrère d’Encausse, médecin obstétricien et journaliste sur France 5 pour le magazine de la santé qui préface l’ouvrage. Pour 10 € [3] vous faites une bonne action et vous passerez un bon moment de lecture. Les droits sont cette année reversés à la "Fondation maladies rares"[4].
"La Fondation maladies rares" est née de la volonté des associations de malades et de celle de tous les acteurs, médecins et chercheurs, impliqués dans la recherche et la prise en charge des malades dans le domaine des maladies rares. Elle a pour principaux objectifs de mettre en lien et de fédérer les acteurs de la recherche et du soin dans les maladies rares, et de financer, sur la base d'appels d'offres pluriannuels, les projets de recherche ciblés sur les maladies rares, sans restriction du type de maladie ni de champ disciplinaire (Recherche clinique, physiopathologique, thérapeutique, sciences humaines et sociales).

 

R88P80

Sébastien Mousse et Fabien Hérisson signent l’accord  conclu entre l’"Atelier Mosésu" et "Le collectif des auteurs du noir".


Rencontre avec Fabien.

 

Sébastien Mousse : Bonjour Fabien, ma première question sera toute bête, comment t’est venue l’idée des auteurs du noir ?

 

Fabien Hérisson : À l’origine, les auteurs du Noir, c'est un site : "Livresque du Noir". Une carte blanche donnée aux auteurs pour qu'ils puissent parler de leurs romans en toute liberté, sans format imposé, et que les moins connus d'entre eux et les débutants puissent côtoyer des noms parmi les plus prestigieux, et qu'ils disposent d'un espace commun d'expression. Puis l'idée est venue d'exporter cet espace commun sur un format papier. Le plus cohérent était le recueil de nouvelles. Il n'y a plus eu qu'à contacter les auteurs et trouver un éditeur.

 

S.B. : Les auteurs ont tout de suite dit oui ? Aucune réticence ?

 

F.H. : Aussi surprenant que cela puisse paraître, les auteurs contactés à chaque fois ont répondu oui très vite. Il n'y a eu aucune réticence pour participer, que ce soit pour le premier opus ou pour le second à paraître. Il y a bien eu des refus, mais plus à cause d'agendas surchargés que pour une non-adhésion au projet. Certains auteurs n'ayant pu se libérer pour écrire une nouvelle se sont proposés pour un futur recueil.

 

S.B. : Malheureusement les causes à soutenir sont nombreuses, nous avons du pain sur la planche, d’après toi, il sera facile de trouver en un, du sang neuf au fur et à mesure, et surtout en deux, de mobiliser chaque année des auteurs ?

 

F.H. : Je n'ai aucune appréhension pour le futur. Les auteurs font preuve d'une grande générosité et sont prêts à donner de leur temps pour écrire un texte. Il y a de nombreuses et talentueuses plumes dans le noir paysage littéraire français.
Quant aux causes, il y en a de très belles à soutenir. Ce qui est sûr, c'est que parmi les associations futures qui seront choisies, jamais vous ne trouverez des noms comme les Restos du cœur ou l'ARC. Nous privilégions les associations moins connues du public, celles qui ont plus de mal à trouver des fonds ou des financements.

 

S.B. : Dans un être si chétif que toi se cache un cœur immense, en plus du collectif, tu as un autre projet en cours, "Solide Air", tu peux nous en dire quelques mots ?

 

F.H. : "Solide Air" est une plateforme de ce qu'on appelle le Crowdfunding. En français, on parle plus communément de financement participatif ou de financement par la foule. On a tous à l'esprit des sites comme My Major Company. Ce sont les internautes qui financent un projet. Sur "Solide Air", ces projets seront à buts solidaires et sociaux et seront essentiellement proposés par des associations, fondations... Dans une société où prime l'individualisme, il faut mettre en lumière les initiatives solidaires et montrer qu'il existe des gens qui ont des idées pour les faire évoluer. Contrairement à ce que l'on peut penser, les Français restent généreux malgré la crise économique. Certes, le montant des dons est moindre, mais ils sont toujours aussi nombreux.

 

S.B. : Merci Fabien, en espérant que "Santé" ! fasse de jolis dons à la fondation maladies rares…

 

Sébastien Mousse,Mousse-Sebastien-signature
thanatopracteur.

 

Nota :

1 - www.livresque-du-noir.fr
2 - www.asso-ecoute-ton-coeur.com
3 - www.atelier-mosesu.com
4 - www.fondation-maladiesrares.org

La  vie est faite de hasard, moi, personnellement je ne me plains pas, souvent les hasards des rencontres, puisque c’est de ceux-ci dont je parle, me sourient assez.

C'est à l'occasion de la sortie du film d'animation de Patrice Leconte ("Les Bronzés") que nous vous présentons ce roman complètement décalé, étrange, déconcertant mais tellement drôle : "Le Magasin des Suicides" de Jean Teule.

Dernier opus en date des aventures du "flic" corse, créé par Elena Piacentini : Pierre-Arsène Leoni ; enfin, quand je dis "flic", ex-commandant de police.

Instances fédérales nationales et internationales :

FNF - Fédération Nationale du Funéraire FFPF - Fédération Française des Pompes Funèbres UPPFP - Union du Pôle Funéraire Public CSNAF - Chambre Syndicale Nationale de l'Art Funéraire UGCF - Union des Gestionnaires de Crématoriums Français FFC - Fédération Française de Crémation EFFS - European Federation or Funeral Services FIAT-IFTA - Fédération Internationale des Associations de Thanatoloques - International Federation of Thanatologists Associations