C’est dans un secteur où chaque détail a du sens que Michel Guiragossian, dirigeant de la société Vanillablue, affirme depuis plusieurs années une vision singulière : concevoir du mobilier pour espaces funéraires qui conjugue sobriété, chaleur, et excellence.

Qu’il s’agisse de salles de cérémonie, de salons de convivialité, d’espaces d’accueil ou de magasins de pompes funèbres, l’entreprise luxembourgeoise propose des aménagements pensés comme des lieux de transition, empreints de respect et d’humanité.
Des meubles au service de l’hommage
Les collections créées par Vanillablue s’appuient sur une sélection rigoureuse de matériaux nobles : bois massif, tissus aux textures organiques, finitions soignées. Chaque pièce – banc, pupitre, catafalque, présentoir ou console – est dessinée pour trouver naturellement sa place dans des environnements où le recueillement doit être facilité.


Les lignes doivent être à la fois discrètes et réconfortantes, les teintes douces et les formes lisibles. "Il ne s’agit pas seulement de meubler, mais d’installer une atmosphère", résume Michel Guiragossian. Ce soin du détail confère aux réalisations de Vanillablue un caractère presque hôtelier, emprunté à l’univers du design haut de gamme.


Une fabrication pensée pour durer
Dans sa démarche, Vanillablue s’appuie sur un partenariat durable avec un atelier de fabrication reconnu en Indonésie, dont le savoir-faire artisanal est mis au service de standards exigeants. La sélection des essences (toutes issues de filières écoresponsables "Indonésien Legal Wood") et le soin apporté aux finitions permettent à l’entreprise de proposer une offre à la fois pérenne, esthétique et fonctionnelle.


Les meubles, modulables et adaptables aux configurations spécifiques de chaque établissement, sont pensés pour accompagner aussi bien les cérémonies que les moments d’attente ou d’accueil. À travers cela, Vanillablue entend participer à l’évolution des pratiques funéraires, en intégrant davantage de douceur, de personnalisation et de confort dans ces lieux souvent sous-estimés.
Résonance n° 218 - Août 2025
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