Il y a quelques années, j’écoutais un juriste parler de réglementation funéraire et je m’interrogeais : est-il essentiel de dire que les choses sont complexes, que les simplifier est dangereux et que le simplisme est un fléau qui devrait inspirer la pire des épouvantes ?
En accord avec la propagation de la vertu, je me suis dit que ces garde-fous étaient utiles si la matière traitée était complexe. Mais, la réglementation funéraire l’était-elle autant qu’on le prétendait ?