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Actualités

  • Édito octobre 2020

    Au cœur de la crise se situe l’opportunité

    "Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté." Quelle belle école de la vie suggère cette citation attribuée de façon apocryphe à Einstein. La crise suppose le danger et la gestion de celui-ci diffère selon nos propres filtres ; en un mot, nous introduisons dans la boucle un sentiment puissant : la peur. Chacun d’entre nous va se révéler en traversant cette période de crise. Nos forces, mais également nos faiblesses, vont s’imposer à nous comme autant de facteurs sur lesquels nous allons influer, non pas pour tenter de les modifier, mais plutôt pour les accepter en tant que tels et remettre en cause la perception que nous avons des événements.
    La peur n’écarte pas le danger, alors il ne sert à rien d’avoir peur, dit le marin à l’approche de la tempête. Sur cette lapalissade se révèle un bon sens commun dont l’aspect philosophique n’échappera à personne. Face à la peur, le lâcher-prise s’impose pour retrouver la lucidité nécessaire à la compréhension et à l’adaptation à la situation nouvelle. Pour s’imprégner de ces pensées philosophiques, il convient de se tourner vers trois grands courants de pensée : les stoïciens, les épicuriens et les cyniques. Vous ne trouverez pas dans leur lecture de quoi éliminer les maux qui vous tourmentent mais, a contrario, de quoi les combattre, et surtout de quoi réduire les nuisances collatérales de ces peurs.
    Souvenons-nous de cette citation d’Épictète : "il y a des choses qui dépendent de nous et il y a des choses qui n’en dépendent pas". Une fois que vous avez intégré ce principe, vous pouvez considérer que vous êtes déjà sur la voie de la sagesse. À cette réflexion profonde, vous conjuguerez d’autres facteurs essentiels pour faire de vous un "être éclairé". Pour y parvenir, vous accueillerez les nouveaux événements avec sagesse, humilité et sérénité. Sur cette voie de la connaissance, il vous faudra également adjoindre d’autres qualités, tels la justice, mais également le respect des autres et de soi-même. Bref, vous entrerez en interaction avec votre environnement. Enfin assoiffé de vérité transcendantale, vous serez femme/homme de décision car prendre parti, même lorsque votre prise de position s’avère difficile et délicate, c’est agir.
    La passivité a ses limites, et si la crise est "subir", votre réponse est une action positive, voire décisive, pour justement modifier les contours de cet événement. "La crise, c’est le sentiment de la crise." Il faut reconnaître que parler en boucle des aspects de cet épisode, par exemple la Covid-19, non seulement ne contribue pas à sa résolution mais participe au contraire à amplifier son ressenti, le visionnage des chaînes d’information en continu étant pour beaucoup dans la contagion anxiogène de nos concitoyens. Alors, que faire ? La première chose, nous semble-t-il, est de continuer à vivre et à appliquer les consignes de sécurité, même si celles-ci nous semblent paradoxales.
    Il vaut mieux vivre temporairement avec un masque en tissu qu’avec un respirateur artificiel. En persévérant, ayez donc des projets d’avenir et vivez vos rêves, à défaut de rêver votre vie, car l’histoire de l’humanité est jalonnée de catastrophes sanitaires d’origines "naturelles", agressives et omniprésentes ; cela n’a jamais empêché la créativité de s’exprimer même aux heures les plus sombres de notre aventure humaine…
    "La peur n’évite pas le danger, le courage non plus… mais la peur rend faible et le courage rend fort." Alors que choisissez-vous comme mode de vie ? À l’heure où nous mettons sous presse, la deuxième vague est arrivée, nous dit-on. Dont acte. Pour la première, nous avons subi une onde de choc violente qui a révélé les faiblesses de notre système. Pour ce retour annoncé, nous avons eu le temps d’anticiper les mesures préventives et correctives qui s’imposaient. Et surtout, nous avons l’opportunité de nous placer sous l’angle des stoïciens, des épicuriens ou des cyniques. Par nature, Épicure nous convient bien car, à côtoyer la mort chaque jour, nous choisissons toujours de donner une chance à la vie. Et vous, quel sera votre choix ?
     
    Maud Batut
    Rédactrice en chef
  • Édito octobre 2023

    L’innovation est-elle une valeur ?
  • Édito octobre 2024

    Le rapport à la mort est-il avant tout notre rapport à la vie ?
  • Édito septembre 2024

    "Aux larmes, citoyens ?"

    La séquence olympique s’achève, l’état de grâce associé aussi. La France reprend le chemin du labeur avec, semble-t-il, une morosité latente synonyme de lendemains de fête et présageant le temps bien connu des soupirs hexagonaux. Sans vouloir en rajouter, il faut reconnaître que la période que nous venons de traverser n’est pas banale. Entre deux élections et une carence du pouvoir, entre congés annuels, festivités sportives et valse des prétendants au trône, l’humeur générale n’est pas franchement propice au rebond économique que tous espèrent sans trop y croire. Cependant, les entreprises ont toutes besoin de cette réaction nécessaire à leur activité. Devant ce postulat, deux tendances s’affirment. La première est l’attentisme. Laissons venir à nous les bons de commande… Pas vraiment une solution, plutôt une funeste position somnolente d’arrière-garde. La seconde est de retrouver un esprit combatif version commando et de ne pas laisser les événements quels qu’ils soient prendre le dessus sur le mental et le quotidien de l’entreprise.

    Celle-ci ne serait donc qu’une coquille de noix dans la tempête ? Il ne viendrait à l’idée de personne de sensée de mettre les chaloupes à la mer alors que les éléments démontés chahutent le navire. Tenir bon la barre et le cap reste la seule solution de bon sens. En d’autres termes, la crise, c’est le sentiment de celle-ci, et le remède est bien connu, il faut com-mu-ni-quer ! L’importance de la communication externe en "temps de crise" est de toute évidence un exercice d’équilibriste et de gestion des enjeux sensibles.

    Une communication efficace peut (et doit) renforcer la confiance, atténuer les dommages (notamment réputationnels et économiques) et aider votre organisation à naviguer avec succès dans la tempête. Tout cela, vous le savez déjà… Il reste cependant un élément essentiel sans lequel rien ne sera possible : la confiance, et particulièrement la confiance en soi.

    Aristote (350 av. J.-C.) affirmait que la confiance en soi est une forme de courage, qu’il définissait comme "la vertu du juste milieu entre la peur et la confiance". Il croyait que le courage est nécessaire pour vivre une bonne vie, car il nous permet d’affronter nos peurs et de surmonter les obstacles. Ce noble sentiment est à coup sûr le carburant du chef d’entreprise aussi bien que celui de ses interlocuteurs ; aussi, il semble essentiel de fonder ce sentiment sur des bases solides qui seraient la compétence, la bienveillance, la prévisibilité, l’intégrité, la transparence et l’authenticité.

    En résumé, pour affronter les tempêtes de la vie, le plus important est d’abord de savoir qui l’on est, et surtout si la capacité de faire face nous appartient. En termes plus triviaux, nous dirons qu’il "faut en avoir" et qu’il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer. La volonté, la confiance, le courage forgent donc la nature humaine dans ce qu’elle a de plus noble à offrir : une parole authentique et sincère, une promesse d’avenir, une loyauté partagée. Tels sont assurément les fondements d’une bonne communication, parler fort et clair pour être audible et reconnu dans le fracas de la tempête.

    Pour mémoire, la confiance, ce nom latin, vient du préfixe "cum" qui signifie "avec" et "fidere" qui signifie "croire, avoir foi". Finalement, dire à l’autre que vous êtes là, que vous le serez toujours et qu’en cela vous êtes fiable, donc de confiance, n’est-ce pas là le propos de toute entreprise funéraire ou de fabricants fournisseurs de la filière ? Le temps est donc venu de faire face une fois de plus contre des adversités souvent factices et qui se veulent montagnes, alors que ce ne sont que des trous de taupes. Dire qui l’on est, dire ce que l’on va faire, faire ce que l’on a dit et le démontrer, imposent une seule issue : bouger, innover, se remettre en cause positivement, créer du lien et s’extraire du gluon morose que nous laisserons bien volontiers aux défaitistes de tout poil. Le funéraire affichera une fois de plus sa résilience et saura faire porter sa voix où cela sera utile pour contribuer à l’intérêt général et au bien commun… Pour y parvenir, nous ne craignons pas l’altitude des sommets…
     
    Steve La Richarderie
    Rédacteur en chef
  • Édito septembre 2025

    Funéraire : la confiance comme ultime capital

    Il est des paradoxes qui en disent long sur l’époque. Tandis que la France voit sa note souveraine rétrogradée par les agences internationales, que les tensions sociales s’exacerbent et que la valse gouvernementale nourrit la défiance citoyenne, nombre d’entreprises, elles, demeurent solides, résilientes, et conservent la confiance des investisseurs. Ce décalage souligne une vérité simple : la vitalité d’un pays ne se mesure pas seulement à la stabilité de ses institutions, mais aussi – et peut-être surtout – à l’engagement de ses acteurs économiques et sociaux.

    Notre secteur funéraire n’échappe pas à cette dynamique. Loin des projecteurs, il poursuit sa mue, avec la même constance qu’exige son rapport intime à la condition humaine. Car, si les crises politiques ou financières se succèdent, l’accompagnement des familles endeuillées demeure une mission dont la valeur ne se déprécie jamais. Comme l’écrivait Montaigne, "philosopher, c’est apprendre à mourir" ; or, le rôle du funéraire est précisément de donner à cette vérité universelle une traduction digne, humaine et organisée.

    L’élection de Pascal Caton à la présidence de la Fédération Nationale du Funéraire marque un tournant. Fort d’un demi-siècle d’expérience, il entend prolonger l’œuvre de structuration de la FNF tout en affirmant de nouveaux axes : renforcer les services aux adhérents, intensifier le dialogue avec les pouvoirs publics, améliorer l’attractivité des métiers et redorer l’image d’une profession trop souvent réduite à la seule question du coût des obsèques. Cette feuille de route, claire et ambitieuse, invite chaque professionnel à se reconnaître dans une vision partagée, à se sentir partie prenante d’un collectif uni par la fierté et la responsabilité.

    La profession, cependant, ne saurait ignorer les défis structurels qui se dessinent. La recomposition du secteur, amorcée depuis la loi de 1993, n’est pas achevée : l’influence croissante des grands comptes et le poids économique des contrats obsèques imposent la recherche d’un nouvel équilibre entre logiques financières et valeurs humaines. Ici réside sans doute la plus grande vigilance : comment préserver l’indépendance des acteurs tout en cultivant une interdépendance constructive ? Comme le rappelait Paul Ricœur, la véritable éthique consiste à conjuguer "l’estime de soi, la sollicitude pour autrui et la justice pour chacun". Cette trilogie vaut aussi pour l’économie funéraire : garantir aux familles la liberté de choix, aux entreprises la juste reconnaissance, et aux financeurs la stabilité de leurs engagements.

    Dans ce contexte, FUNÉRAIRE PARIS 2025 s’annonce comme une étape majeure. Plus de 230 exposants, dont près de 80 nouveaux, viendront illustrer la vitalité et la créativité d’une filière qui, loin des clichés, innove sans cesse pour conjuguer tradition et modernité. L’édition du vingtième anniversaire sera autant une vitrine qu’un manifeste : celui d’une profession consciente de ses responsabilités et fière de son utilité sociale.

    Enfin, les récents aménagements législatifs relatifs au cumul emploi-retraite et à la retraite progressive offrent de nouvelles perspectives. Ils pourraient constituer une chance pour un secteur confronté à des difficultés de recrutement chroniques : permettre aux plus expérimentés de transmettre leur savoir-faire, tout en ouvrant la voie à des reconversions tardives, c’est enrichir la chaîne de transmission et renforcer la profession.

    À l’heure où la notion de respect semble se dissoudre dans le tumulte social et politique, les métiers du funéraire en demeurent l’ultime bastion. Respect des familles, respect du défunt, respect d’un savoir-faire séculaire : voilà le triptyque qui fonde notre crédibilité. Gardons donc confiance. Dans un monde traversé d’incertitudes, notre secteur conserve un atout majeur : il incarne ce qu’il y a de plus pérenne et de plus humain.
     
    Steve La Richarderie
    Rédacteur en chef
  • Edouard Sottile Funéraire, choix et transparence au service des marbriers

    Créée en 1928 par Édouard Sottile, la société Édouard Sottile Funéraire est, depuis 1999, dirigée par Jean-Paul Soltani qui a su lui donner une pérennité économique malgré les tempêtes provoquées ces dernières années par la mondialisation et ses concurrences ardues. Elle est reconnue comme un acteur historique et important sur le marché de la marbrerie française et revendique son statut de généraliste doué pour le négoce et détenteur d'une réelle capacité à la personnalisation des monuments.

  • EFFA : 85 % des étudiants salariés d’une entreprise dans les 30 jours après l’obtention de leur diplôme

    EFFA a obtenu une bonne nouvelle lors d’un sondage sur les participants 2017 à ses formations, un score de 85 % des participants trouvent un emploi dans leur domaine dans les 30 jours qui suivent l’obtention de leur diplôme. Ces résultats nous ravissent, mais quelles sont les raisons de ce succès ?

  • EFFA : de bonnes nouvelles !

    Un nombre record de reçus à l’examen théorique de thanatopraxie, et un taux d’entrée en emploi de 92 % chez les conseillers funéraires et les maîtres de cérémonie : deux bonnes nouvelles que nous recevons en ce début de février.

  • EFFA : 85 % de nos diplômés réalisent leur rêve en 39 jours !

    EFFA a obtenu une bonne nouvelle lors d’un récent sondage : 85 % de nos participants trouvent un emploi dans leur domaine dans les 39 jours qui suivent la fin de leur formation. Ces résultats nous ravissent mais quelles sont les raisons de ce succès ? Nous avons identifié trois leviers.

    EFFA coul fmt

  • EFFA : des formations adaptées à l’évolution du monde funéraire et des méthodes d’apprentissage innovantes

    Avec une année 2019 très positive et une participation au salon FUNÉRAIRE PARIS riche de rencontres, l'EFFA* innove encore avec la possibilité de suivre ses formations par "classe virtuelle". Nous avons échangé avec Yves Messier, responsable de l'EFFA, sur cette nouveauté et l'avenir de la formation professionnelle. L'occasion de suivre l'actualité de ce centre de formation dont la notoriété ne se dément pas et qui se positionne, dans les faits, comme le précurseur en matière de modernisation des modes de formation dans le secteur funéraire.

  • EFFA : Équilibre et formation…  Le moyen pour profiter à fond d’un stage

    EFFA coul fmt

    Me demanderez-vous encore quel est le lien entre ces deux éléments : l’équilibre et la formation ? Accordez-moi quelques instants pour que je puisse développer mon idée.

  • EFFA : l’art subtil d’une formation innovante et de l’irremplaçable lien humain

    Nous connaissons tous l’importance déterminante de la formation initiale ou continue pour le développement de la valeur ajoutée des différents personnels funéraires. N’est pas formateur qui veut, même avec les meilleurs sentiments, cette démarche ne s’improvise pas. Ajoutons au passage un épiphénomène inattendu, épidémique et totalement nouveau dans l’organisation de notre mode de vie… et les relations humaines, y compris celles de nature pédagogique, s’en trouvent à jamais modifiées durablement. C’était sans compter la pertinence et l’irremplaçable apport d’Yves Messier et de l’EFFA (École de Formation Funéraire Alyscamps). Explications…
  • EFFA : une rentrée sous le signe de la digitalisation et du renouvellement de l’équipe pédagogique

    Depuis mars 2020, l’expérience du distanciel a démontré l’impératif d’une intégration du numérique comme composante pédagogique majeure pour la direction de l’École de Formation Funéraire Alyscamps (EFFA). Au-delà des contraintes, c’est une opportunité à capitaliser pour accélérer la transformation du développement des compétences dans le petit monde de la formation funéraire.
  • Effectivité du congé pour décès d’un enfant dans le cas des enfants nés sans vie

    Question écrite n° 06253 posée par M. Jean-Michel Arnaud (des Hautes-Alpes – UC) publiée dans le JO Sénat du 13/04/2023 – page 2476
  • Effectuer une mise en bière à une seule personne, sans efforts… Vous en avez rêvé… DBC Concept l’a fait !

    Inventée par DBC Concept, la civière DignityBoard s’est révélée être une solution pertinente et efficace dans cette période de pandémie et de grave crise sanitaire où le corps d’un défunt ne peut plus être touché. Ainsi, répondant à un réel besoin de la profession, la DignityBoard permet à la fois de faciliter la mise en bière, de diminuer la pénibilité au travail et de sécuriser, en matière d’hygiène, les pratiques des employés funéraires. Ne s’arrêtant pas là, la société ligérienne innove encore en créant le Lift-Board, un outil de levage pour travailler seul… Découverte !
  • Effervescence et dynamique dans les nouveaux locaux de la FFPF

    Il y avait foule le 14 décembre dernier au numéro 100 de la rue de Ménilmontant dans le 20e arrondissement de Paris, à l’occasion de l’inauguration des nouveaux locaux de la Fédération Française des Pompes Funèbres (FFPF). En effet, conviés pour l’occasion par Roger Schvartsman et Alain Hoffarth, coprésidents de la Fédération, adhérents, partenaires, nouveaux diplômés et amis avaient fait le déplacement des quatre coins de France et bien au-delà.

  • EI Groupe : des formations dans le funéraire à portée de clic !

    Et si vous profitiez de l’été pour faire rayonner les compétences de vos équipes ? Leur avenir mérite de briller : formez-les en ligne !
  • EIHF - Isofroid, créateur de produits et de matériels dédiés aux thanatopracteurs et pompes funèbres, réellement novateurs

    Isofroid 2019bNouveaux produits pour la thanatopraxie, bocaux d’injection et injecteurs cavité nouvelle génération, équipements de salle technique innovants et performants… et surtout, création emblématique de l’entreprise rhodanienne, le nouveau fluide de conservation sans formaldéhyde, ART CAV SECURE, ce sont aujourd’hui les propositions phares qui font d’EIHF - Isofroid une société entreprenante et novatrice dont la croissance ne se dément pas, consolidée par un retour clientèle positif permanent.

  • EIHF-ISOFROID, une gamme complète de matériels

    EIHF-ISOFROID, leader en produits et services avant la mise en bière

    Au service du funéraire depuis plus de quarante ans, EIHF-ISOFROID conçoit, fabrique et commercialise une gamme complète de matériels et de produits à destination des pompes funèbres, des thanatopracteurs indépendants et du milieu hospitalier.

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  • EIHF-Isofroid : trois innovations et un bilan positif pour FUNÉRAIRE PARIS 2021

    Deux mois après FUNÉRAIRE PARIS 2021, Didier Belluard, dirigeant de la société EIHF-Isofroid, nous fait part de son bilan, à froid, du salon…
    Retours produits, fréquentation, appréciations et regrets, il nous dit tout… !

Instances fédérales nationales et internationales :

FNF - Fédération Nationale du Funéraire FFPF - Fédération Française des Pompes Funèbres UPPFP - Union du Pôle Funéraire Public CSNAF - Chambre Syndicale Nationale de l'Art Funéraire UGCF - Union des Gestionnaires de Crématoriums Français FFC - Fédération Française de Crémation EFFS - European Federation or Funeral Services FIAT-IFTA - Fédération Internationale des Associations de Thanatoloques - International Federation of Thanatologists Associations