Après avoir repris la société d'ambulances qui l'employait en 1998, avec sept autres salariés, Pascal Gouriou et son épouse décidèrent alors de répondre à la demande de la population en créant à Saint-Pol-de-Léon une agence de pompes funèbres ainsi qu'un funérarium administré par Yvon Prigent, l'un des tout premiers salariés de l'agence funéraire.
L'établissement comportait alors quatre salons portant les noms des îles locales : île Callot, île de Batz, île de Sieck et îlot Sainte-Anne.
Forts d'une réputation solide et bien implantés sur le secteur, les établissements Gouriou ouvrent un second funérarium en 2004, comprenant quatre salons, toujours en bord de mer, sur la commune de Plouescat, dirigé par Jean-François Oulhen, l'un des trois proches collaborateurs de M. et Mme Gouriou qui continuent à développer leurs activités sanitaires et funéraires.
En effet, à présent l'entreprise compte plus de vingt chauffeurs et neuf employés pour l'activité de pompes funèbres, dont deux marbriers.
Aujourd'hui, la Société se dote d'un nouvel outil de travail plus intimiste, qui comporte deux salons répondant aux noms des deux rivières qui longent la ville, la Pénélé et la Penzé.
L’établissement sera dirigé par leur troisième collaborateur, Gaëtan Urien qui collabore avec Pascal et Virginie depuis maintenant plusieurs années.
Ce funérarium se situe juste à l'entrée de la ville de Taulé et reste bien desservi par la proximité de l'axe Morlaix-Roscoff.
La surface du bâtiment permet d'héberger le funérarium bien sûr, mais également une réserve pouvant abriter un important stock de cercueils, de capitons et d'accessoires funéraires dans le prolongement de ce dernier.
Le parking dont l'accès se fait directement par la rue principale, à l'entrée du bourg, peut aisément recevoir une vingtaine de voitures.
L'entrée donne sur un espace commun aux deux salons. On y trouve un coin "cafétéria" agréable et fort bien agencé.
L'aménagement des salons, de 20 et 30 m2 est chaleureux.
Concernant la partie technique, les deux salons s'ouvrent sur un laboratoire qui comporte une chambre froide pouvant recevoir trois corps et un grand espace où les soins de conservation se déroulent dans d'excellentes conditions.
La première année d'exploitation, en 1999, avait permis à vingt-cinq familles de recourir aux services des établissements Gouriou, en 2008 elles étaient près de deux cent cinquante et ce chiffre ne cesse d'augmenter car l'entreprise a toujours su développer et innover sans jamais cesser de se remettre en question.
Le prochain projet de Pascal et Virginie ?
Résonance ne manquera pas de revenir dans le Léon pour inaugurer, cette fois-ci, un complexe crématorium/funérarium à Saint-Thégonnec en partenariat avec un autre acteur du funéraire local implanté à Morlaix.
Ce projet devrait être finalisé pour début 2010 et viendra en renfort des neuf autres crématoriums bretons déjà en place (trois dans le Finistère, deux dans le Morbihan, deux dans les Côtes-d'Armor et bientôt trois dans l'Ille-et-Vilaine).
D'autres projets, bien avancés, devraient voir le jour d'ici un ou deux ans. Nous ne manquerons pas de saluer leur force d'entreprendre surtout dans la période actuelle où les entreprises innovantes ne sont pas légion et où l'heure est plus à la délocalisation et aux licenciements qu'au développement et à l'embauche de personnel qualifié…
Quoi qu'il en soit, nous leur souhaitons bonne chance,
"Avel mat d’it Pascal"…
L'établissement comportait alors quatre salons portant les noms des îles locales : île Callot, île de Batz, île de Sieck et îlot Sainte-Anne.
Forts d'une réputation solide et bien implantés sur le secteur, les établissements Gouriou ouvrent un second funérarium en 2004, comprenant quatre salons, toujours en bord de mer, sur la commune de Plouescat, dirigé par Jean-François Oulhen, l'un des trois proches collaborateurs de M. et Mme Gouriou qui continuent à développer leurs activités sanitaires et funéraires.
En effet, à présent l'entreprise compte plus de vingt chauffeurs et neuf employés pour l'activité de pompes funèbres, dont deux marbriers.
Aujourd'hui, la Société se dote d'un nouvel outil de travail plus intimiste, qui comporte deux salons répondant aux noms des deux rivières qui longent la ville, la Pénélé et la Penzé.
L’établissement sera dirigé par leur troisième collaborateur, Gaëtan Urien qui collabore avec Pascal et Virginie depuis maintenant plusieurs années.
Ce funérarium se situe juste à l'entrée de la ville de Taulé et reste bien desservi par la proximité de l'axe Morlaix-Roscoff.
La surface du bâtiment permet d'héberger le funérarium bien sûr, mais également une réserve pouvant abriter un important stock de cercueils, de capitons et d'accessoires funéraires dans le prolongement de ce dernier.
Le parking dont l'accès se fait directement par la rue principale, à l'entrée du bourg, peut aisément recevoir une vingtaine de voitures.
L'entrée donne sur un espace commun aux deux salons. On y trouve un coin "cafétéria" agréable et fort bien agencé.
L'aménagement des salons, de 20 et 30 m2 est chaleureux.
Concernant la partie technique, les deux salons s'ouvrent sur un laboratoire qui comporte une chambre froide pouvant recevoir trois corps et un grand espace où les soins de conservation se déroulent dans d'excellentes conditions.
La première année d'exploitation, en 1999, avait permis à vingt-cinq familles de recourir aux services des établissements Gouriou, en 2008 elles étaient près de deux cent cinquante et ce chiffre ne cesse d'augmenter car l'entreprise a toujours su développer et innover sans jamais cesser de se remettre en question.
Le prochain projet de Pascal et Virginie ?
Résonance ne manquera pas de revenir dans le Léon pour inaugurer, cette fois-ci, un complexe crématorium/funérarium à Saint-Thégonnec en partenariat avec un autre acteur du funéraire local implanté à Morlaix.
Ce projet devrait être finalisé pour début 2010 et viendra en renfort des neuf autres crématoriums bretons déjà en place (trois dans le Finistère, deux dans le Morbihan, deux dans les Côtes-d'Armor et bientôt trois dans l'Ille-et-Vilaine).
D'autres projets, bien avancés, devraient voir le jour d'ici un ou deux ans. Nous ne manquerons pas de saluer leur force d'entreprendre surtout dans la période actuelle où les entreprises innovantes ne sont pas légion et où l'heure est plus à la délocalisation et aux licenciements qu'au développement et à l'embauche de personnel qualifié…
Quoi qu'il en soit, nous leur souhaitons bonne chance,
"Avel mat d’it Pascal"…
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