Parmi les personnalités qui avaient fait le déplacement : M. François Diaz, vice-président de la SEM PFI, Mme Geneviève Fioraso et M. Michel Issindou, députés de l’Isère, M. Didier Migaud, président de Grenoble Alpes Métropole, député de l’Isère ainsi que de nombreux maires, adjoints et représentant de communes. Également Jean-Claude Bastit, directeur général de la SEM PFO Le Pech bleu à Béziers (34), vice-président de UPPFP et vice-président de l'union des gestionnaires des crématoriums (UGC), Alain Pouget, directeur de la Régie des Services Funéraires de la Communauté d'Agglomération de Montpellier (34), Bernard Saguy, directeur général de la Mutac accompagné de sa présidente Andrée Barboteux, Bernard Rolet, président de l’Union des Professionnels du Funéraire (UPF), Jean-Pierre Guillermin, directeur de Facultatieve Technologies France, Sylvie Renaud, responsable de la Société Carrier-Fège–Renaud et bien d’autres encore…
C’est en nous invitant à écouter le très célèbre concerto "La Jeune Fille et la Mort", écrit par Franz Schubert en mars 1824 (Il est considéré comme son quatuor le plus achevé) et interprété par un quatuor à cordes créé à cette occasion par le Conservatoire à rayonnement régional de Grenoble, que Corinne Loïodice, présidente de l’Union du Pôle Funéraire Public (UPPFP) et directrice générale déléguée de la SEM PFI de la région de Grenoble à ouvert les festivités de ce vingtième anniversaire.
Cette manifestation a été l’occasion de la remise de la "médaille des 20 ans" à huit fidèles collaborateurs qui sont :
C’est en nous invitant à écouter le très célèbre concerto "La Jeune Fille et la Mort", écrit par Franz Schubert en mars 1824 (Il est considéré comme son quatuor le plus achevé) et interprété par un quatuor à cordes créé à cette occasion par le Conservatoire à rayonnement régional de Grenoble, que Corinne Loïodice, présidente de l’Union du Pôle Funéraire Public (UPPFP) et directrice générale déléguée de la SEM PFI de la région de Grenoble à ouvert les festivités de ce vingtième anniversaire.
Cette manifestation a été l’occasion de la remise de la "médaille des 20 ans" à huit fidèles collaborateurs qui sont :
- Jean-Michel Chatelot,
- Hervé Coynet,
- Jean-Marc Jullien,
- Thierry Labarde,
- Roger Mathieu,
- Patrice Menon,
- Jean-Michel Mounier,
- Hervé Terrot.
Une histoire de service public
1 - Un statut juridique unique…
Les PFI de la région grenobloise ont ouvert, par leur statut juridique, la troisième voie du funéraire en France. En effet depuis 1988, les PFI ont adopté le statut de SEM (Société d’Économie Mixte). Il s’agissait du premier cas français, depuis d’autres se sont également organisées en SEM (Paris, Brest, Tours, Béziers, Saintes...).
1 - Un statut juridique unique…
Les PFI de la région grenobloise ont ouvert, par leur statut juridique, la troisième voie du funéraire en France. En effet depuis 1988, les PFI ont adopté le statut de SEM (Société d’Économie Mixte). Il s’agissait du premier cas français, depuis d’autres se sont également organisées en SEM (Paris, Brest, Tours, Béziers, Saintes...).
2 - … au service de l’intercommunalité
En 1924, la ville de Grenoble crée un service municipal de pompes funèbres. À la fin des années 30, La Tronche, commune voisine qui accueille sur son territoire l’hôpital et le cimetière de Grenoble, lui demande d’assurer pour son compte cette mission. C’est ensuite Corenc et Meylan qui lui confient à leur tour cette mission dans les années 80.
En 1982, sept communes mettent en place une section "Pompes Funèbres Intercommunales" au sein du SIEPARG (Syndicat Intercommunal d’Études et de Programmation pour l’Aménagement de la Région Grenobloise, aujourd’hui Grenoble-Alpes - Métropole - La Métro). Les PFI remplacent alors le service municipal de Grenoble.
En 1988, le SIVOM de l’agglomération grenobloise (La Métro) transforme ce service intercommunal en Société d’Économie Mixte dont il est le principal actionnaire. Les élus estiment que ce nouveau cadre juridique est l’outil idéal pour permettre à un plus grand nombre de villes de bénéficier de ce service public, et de s’assurer d’une gestion plus souple et plus efficace, alliant ainsi la solidarité intercommunale et l’avantage du statut d’entreprise publique locale. Dans le choix de ses partenaires, il a privilégié l’esprit "service public". Il s’est ainsi associé à la mutualité, et notamment avec l’UDMI (Union Départementale des Mutuelles de l’Isère), les Mutuelles de l’Isère et la MUTAC, mutuelle de prévoyance, d’assistance et de conventions obsèques (anciennement Mutuelle des Crématistes). La participation au capital de ces mutuelles est un cas unique en France et atteste de la vocation de la SEM PFI :
3 - Être le service funéraire des communes solidaires.
La population faisant appel aux PFI de la région grenobloise a doublé depuis leur création en 1982. Elles regroupaient alors sept communes, soit 200 000 habitants. En octobre 2008, elles comptent soixante-quatre communes membres, soit 485 000 habitants. Cet accroissement se traduit au niveau de son activité. En effet, au cours de l’exercice 2007/2008, les PFI ont traité près de 3 100 décès. Leur activité a ainsi doublé par rapport à leur année de création (1982), au cours de laquelle elles avaient traité 1 551 décès.
4 - Une vocation de service public
Les missions confiées en 1982 aux PFI demeurent les mêmes aujourd’hui : Mettre à la disposition des populations un service de qualité, appliquer des tarifs modérés, créer et gérer des équipements funéraires en tenant compte des évolutions souhaitées par les populations. En vingt ans, ce cahier des charges a toujours été respecté. L’augmentation du nombre de villes membres et leur fidélité malgré la vive concurrence en témoignent. Les communes membres contrôlent la gestion et les orientations de la SEM en siégeant et présidant au Conseil d’administration. Cette coopération intercommunale apporte une réponse adaptée à la loi du 8 janvier 1993. La nouvelle législation instaure de fait la libre concurrence dans l’organisation du service funéraire. Les communes peuvent continuer à organiser le "service extérieur des pompes funèbres" mais ils n’en ont plus l’exclusivité. Entre un service municipal de pompes funèbres et une entreprise privée de pompes funèbres dans laquelle la commune n’a aucun pouvoir de décision, la SEM constitue donc une bonne solution pour les maires qui souhaitent maintenir un service funéraire public efficace et moderne sur leur territoire. La région grenobloise fait figure d’exemple dans le secteur funéraire public.
S’adapter à l’évolution des rites funéraires et aux attentes des familles
Les PFI de la région grenobloise s’attachent depuis leur création à répondre aux nouvelles pratiques et attentes en matière funéraire. La création en 1985 du centre funéraire des PFI, à La Tronche, va permettre aux PFI de mettre en place dans le cadre de sa mission de service public, de nouveaux services aux populations :
En 1924, la ville de Grenoble crée un service municipal de pompes funèbres. À la fin des années 30, La Tronche, commune voisine qui accueille sur son territoire l’hôpital et le cimetière de Grenoble, lui demande d’assurer pour son compte cette mission. C’est ensuite Corenc et Meylan qui lui confient à leur tour cette mission dans les années 80.
En 1982, sept communes mettent en place une section "Pompes Funèbres Intercommunales" au sein du SIEPARG (Syndicat Intercommunal d’Études et de Programmation pour l’Aménagement de la Région Grenobloise, aujourd’hui Grenoble-Alpes - Métropole - La Métro). Les PFI remplacent alors le service municipal de Grenoble.
En 1988, le SIVOM de l’agglomération grenobloise (La Métro) transforme ce service intercommunal en Société d’Économie Mixte dont il est le principal actionnaire. Les élus estiment que ce nouveau cadre juridique est l’outil idéal pour permettre à un plus grand nombre de villes de bénéficier de ce service public, et de s’assurer d’une gestion plus souple et plus efficace, alliant ainsi la solidarité intercommunale et l’avantage du statut d’entreprise publique locale. Dans le choix de ses partenaires, il a privilégié l’esprit "service public". Il s’est ainsi associé à la mutualité, et notamment avec l’UDMI (Union Départementale des Mutuelles de l’Isère), les Mutuelles de l’Isère et la MUTAC, mutuelle de prévoyance, d’assistance et de conventions obsèques (anciennement Mutuelle des Crématistes). La participation au capital de ces mutuelles est un cas unique en France et atteste de la vocation de la SEM PFI :
3 - Être le service funéraire des communes solidaires.
La population faisant appel aux PFI de la région grenobloise a doublé depuis leur création en 1982. Elles regroupaient alors sept communes, soit 200 000 habitants. En octobre 2008, elles comptent soixante-quatre communes membres, soit 485 000 habitants. Cet accroissement se traduit au niveau de son activité. En effet, au cours de l’exercice 2007/2008, les PFI ont traité près de 3 100 décès. Leur activité a ainsi doublé par rapport à leur année de création (1982), au cours de laquelle elles avaient traité 1 551 décès.
4 - Une vocation de service public
Les missions confiées en 1982 aux PFI demeurent les mêmes aujourd’hui : Mettre à la disposition des populations un service de qualité, appliquer des tarifs modérés, créer et gérer des équipements funéraires en tenant compte des évolutions souhaitées par les populations. En vingt ans, ce cahier des charges a toujours été respecté. L’augmentation du nombre de villes membres et leur fidélité malgré la vive concurrence en témoignent. Les communes membres contrôlent la gestion et les orientations de la SEM en siégeant et présidant au Conseil d’administration. Cette coopération intercommunale apporte une réponse adaptée à la loi du 8 janvier 1993. La nouvelle législation instaure de fait la libre concurrence dans l’organisation du service funéraire. Les communes peuvent continuer à organiser le "service extérieur des pompes funèbres" mais ils n’en ont plus l’exclusivité. Entre un service municipal de pompes funèbres et une entreprise privée de pompes funèbres dans laquelle la commune n’a aucun pouvoir de décision, la SEM constitue donc une bonne solution pour les maires qui souhaitent maintenir un service funéraire public efficace et moderne sur leur territoire. La région grenobloise fait figure d’exemple dans le secteur funéraire public.
S’adapter à l’évolution des rites funéraires et aux attentes des familles
Les PFI de la région grenobloise s’attachent depuis leur création à répondre aux nouvelles pratiques et attentes en matière funéraire. La création en 1985 du centre funéraire des PFI, à La Tronche, va permettre aux PFI de mettre en place dans le cadre de sa mission de service public, de nouveaux services aux populations :
- Des services d’organisation et réalisation d’obsèques.
- Une chambre funéraire avec vingt et un salons de recueillement et des installations de conservation des corps des défunts.
- La salle de cérémonie PFI qui permet à dessein de satisfaire tous les vœux, qu’il s’agisse de l’agencement de la salle (modulable pour accueillir de 200 à 400 personnes), du déroulement de la cérémonie, de la musique ou des textes prononcés ainsi que d’un système de vidéo-projection. Cette salle répond à toutes les attentes. Dépourvue de signes confessionnels ostentatoires, elle accueille des obsèques religieuses ou civiles, quelle que soit la croyance ou la philosophie.
- Des services techniques.
- Le service Contrat Obsèques.
Pour un meilleur accompagnement des familles, les PFI sont certifiées Qualité Sécurité Environnement ISO 9001 OHSAS 18001 ISO 14001 pour l'intégralité des services et équipements gérés (crématorium intercommunal et cimetière intercommunal), ce qui constitue une première nationale et européenne pour un opérateur funéraire.
Un accompagnement personnalisé pour l’organisation des obsèques
Proposer aux familles un service professionnel et de qualité s’inscrit dans la mission de service public des PFI. Elles s’en acquittent dans les meilleures conditions en consacrant un budget à la formation réglementaire et continue du personnel.
D’autre part, elles renouvellent régulièrement leur parc de véhicules. Tous les véhicules sont avec climatisation, ils sont les premiers en France à avoir été homologués pour le transport de personnels. Les PFI disposent également d’une limousine de prestige de marque Mercedes.
Ses maîtres de cérémonie sont vêtus de smokings ou de redingotes et les costumes des agents funéraires sont régulièrement renouvelés pour s’adapter à l’évolution des coupes et des coloris. Les techniciens d’inhumation disposent eux aussi de tenues spécifiques pour les obsèques.
Proposer aux familles des équipements modernes et adaptés
Un accompagnement personnalisé pour l’organisation des obsèques
Proposer aux familles un service professionnel et de qualité s’inscrit dans la mission de service public des PFI. Elles s’en acquittent dans les meilleures conditions en consacrant un budget à la formation réglementaire et continue du personnel.
D’autre part, elles renouvellent régulièrement leur parc de véhicules. Tous les véhicules sont avec climatisation, ils sont les premiers en France à avoir été homologués pour le transport de personnels. Les PFI disposent également d’une limousine de prestige de marque Mercedes.
Ses maîtres de cérémonie sont vêtus de smokings ou de redingotes et les costumes des agents funéraires sont régulièrement renouvelés pour s’adapter à l’évolution des coupes et des coloris. Les techniciens d’inhumation disposent eux aussi de tenues spécifiques pour les obsèques.
Proposer aux familles des équipements modernes et adaptés
| Fiche d’identité des équipements funéraires : Le centre funéraire des PFI, à La Tronche
Les bureaux, services techniques et la salle de cérémonie des PFI. Les PFI sont propriétaires de cet équipement. Le Crématorium Intercommunal, baptisé "Docteur Valois” à Gières
Le Cimetière Paysager Intercommunal, La Perrière, à Poisat
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Radioscopie des PFI
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