"L'incinération du corps est une demande à laquelle les collectivités se devaient de répondre. En effet, cette demande est croissante puisque la crémation représente plus d'un tiers des obsèques dans le Sud Finistère. Or, Quimper n'était pas équipé et les familles étaient obligées de se rendre à Brest ou Carhaix.
La ville de Quimper ne pouvait rester sourde à cette demande. Les services de la ville, sous la délégation de Marcelle Ramonet, et avec l'association des crématistes du Finistère, ont travaillé pour trouver un lieu propice ", a expliqué Alain Gérard dans son allocution.
Le choix s’est en partie fait sur le projet le plus discret :
Après les villes de Brest et Carhaix, c’est donc à la ville de Quimper de s’équiper d’un crématorium qui prendra place à proximité du cimetière Stang Vihan sur un terrain de 3000 m2, à proximité du boulevard Nord, ce qui en facilitera l'accès. Il faut noter une particularité architecturale : le bâtiment sera encastré dans la colline et la partie visible, quant à elle, sera recouverte d’un couvert végétal, qui renforcera la discrétion de sa présence sur le site. Il totalisera une surface de 680 m2. La construction et la délégation de gestion de 25 ans revient à l'entreprise Michel Corbel de Pont-l'Abbé, qui investit 1,8 millions d'euros.
Cet équipement s'inscrit dans une démarche de qualité environnementale. Son four est équipé d'un système de filtration des fumées innovant, qui fonctionne en liaison avec une station de traitement de l'air et permet d'obtenir de bons résultats au niveau des rejets atmosphériques. C'est une première en Bretagne.
En ce sens, le crématorium va plus loin que la simple réglementation, il anticipe les futures normes européennes, qui seront plus restrictives.
Si nécessaire, il sera possible d'augmenter les capacités de la structure, avec la mise en place d'un second four, dans cinq ans.
Nombre annuel de crémations prévues : Environ 800.
La ville de Quimper ne pouvait rester sourde à cette demande. Les services de la ville, sous la délégation de Marcelle Ramonet, et avec l'association des crématistes du Finistère, ont travaillé pour trouver un lieu propice ", a expliqué Alain Gérard dans son allocution.
Le choix s’est en partie fait sur le projet le plus discret :
Après les villes de Brest et Carhaix, c’est donc à la ville de Quimper de s’équiper d’un crématorium qui prendra place à proximité du cimetière Stang Vihan sur un terrain de 3000 m2, à proximité du boulevard Nord, ce qui en facilitera l'accès. Il faut noter une particularité architecturale : le bâtiment sera encastré dans la colline et la partie visible, quant à elle, sera recouverte d’un couvert végétal, qui renforcera la discrétion de sa présence sur le site. Il totalisera une surface de 680 m2. La construction et la délégation de gestion de 25 ans revient à l'entreprise Michel Corbel de Pont-l'Abbé, qui investit 1,8 millions d'euros.
Cet équipement s'inscrit dans une démarche de qualité environnementale. Son four est équipé d'un système de filtration des fumées innovant, qui fonctionne en liaison avec une station de traitement de l'air et permet d'obtenir de bons résultats au niveau des rejets atmosphériques. C'est une première en Bretagne.
En ce sens, le crématorium va plus loin que la simple réglementation, il anticipe les futures normes européennes, qui seront plus restrictives.
Si nécessaire, il sera possible d'augmenter les capacités de la structure, avec la mise en place d'un second four, dans cinq ans.
Nombre annuel de crémations prévues : Environ 800.
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