Né en 1791 à Sarrelouis, qui était alors une enclave française en Allemagne, Jean-Nicolas Gannal est considéré comme le père de la thanatopraxie moderne. Cette version "officielle", même si elle est aujourd’hui contestée à la lumière de documents d’époque, est d’ailleurs toujours enseignée aux élèves thanatopracteurs.
C’est toujours un événement que l’agrément d’un nouveau fluide dans le monde de la thanatopraxie mais, là, il est de taille puisque ce n’est pas un fluide français mais australien. Il n’est pas vraiment nouveau puisqu’il s’agit du Genelyn, commercialisé par la société EEP-Co, dont les thanatopracteurs français ont déjà entendu parler et qu’ils pourront désormais utiliser.
La thanatopraxie est aujourd’hui généralisée presque partout en France, et la plupart des conseillers funéraires en connaissent sinon les bases, au moins le principe. Dès lors qu’il s’agit d’un défunt dont le corps n’a pas subi d’atteinte particulière, il est assez simple de proposer les soins de conservation aux familles. En revanche, lorsqu’il s’agit d’un cas particulier, il est plus compliqué de s’avancer.
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